Effet du THC sur le Cerveau : Voir les Impacts à Long Terme

THC et cerveau : effets.

Changé le: 06/12/2023

THC et cerveau : effets et dommages à court et long terme

QUELS SONT LES DOMMAGES AU CERVEAU ET LES EFFETS POSSIBLES DE L’APPORT CHRONIQUE DE THC ?

Comme vous le savez bien, la marijuana est un produit naturel qui, s’il est pris par l’homme mais aussi par les animaux, donne des effets psychotropes plus ou moins intenses. La substance qui agit sur le plan psychique est le THC, acronyme de tétrahydrocannabinol, une substance qui interagit avec les récepteurs CB1 et CB2 de notre cerveau.

Il existe des centaines d’autres cannabinoïdes en plus du THC, y compris le CBD (qui est devenu célèbre avec son avènement), mais il semble que le tétrahydrocannabinol soit responsable de l’altération de la psyché humaine.

En parlant de THC et du cerveau, que peut faire ce cannabinoïde à court et à longue échéance ? Quels sont les effets de son utilisation, occasionnellement ou fréquemment ?

Voyons-l’ensemble au cours de cette étude.

Cannabis et Cerveau : Les Répercussions du THC sur la Prise de Décision et la Santé Mentale

La consommation de cannabis et ses effets sur le cerveau ont été largement étudiés à travers des méta-analyses et des recherches approfondies. La motivation est que le THC, la neurone molécule responsable des effets psychotropes de la marijuana, a des répercussions significatives sur diverses fonctions cérébrales, notamment la concentration, et le fonctionnement des cellules nerveuses.

L’action du THC se manifeste dans plusieurs cas clés liés au cerveau et à la cognition. Les consommateurs de cannabis présentent souvent des troubles, affectant leur capacité à évaluer les risques et les récompenses. Des modèles neurologiques indiquent une organe diminution de la concentration et une altération des fonctions cognitives chez les fumeurs réguliers de cannabis.

La consommation de cannabis peut également avoir des conséquences à longue échéance sur la santé mentale. Les substances chimiques présentes dans la marijuana interfèrent avec le fonctionnement normal des neurotransmetteurs, influençant ainsi le bien-être général et la motivation des individus.

Chez les jeunes consommateurs de cannabis, l’usage de cannabis peut avoir des répercussions particulièrement graves dans le processus. Des études ont montré des liens entre la consommation précoce de cannabis et des altérations du développement cérébral, affectant des domaines tels que la mémoire, le rythme cardiaque, et la tension artérielle.

L’analyse de la littérature scientifique souligne également les risques d’addiction associés à la consommation régulière de cannabis, en particulier pendant l’adolescence et adolescence. Les effets du cannabis sur le système nerveux, les neurones, et les mécanismes de récompense sont des sujets de préoccupation croissante dans le domaine de la santé.

En conclusion, la consommation de cannabis peut avoir des effets profonds sur le cerveau, influençant divers aspects tels que la cognition, et le bien-être général. Les conséquences de l’usage de cannabis, en particulier chez les jeunes, soulignent la nécessité d’une meilleure compréhension des mécanismes en jeu et de mesures préventives pour minimiser les risques pour la santé mentale à longue échéance.

THC : effet sur le cerveau à court échéance

Contrairement au canabis légal, qui agit uniquement sur le plan physique, la marijuana riche en THC a des conséquences à court et à longue échéance sur le cerveau.

Simplement expliqué, lorsqu’une personne consomme du cannabis sous forme de fumée, de nourriture ou de boisson, le THC passe des poumons ou du système digestif dans la circulation sanguine et agit sur les récepteurs CB1 et CB2 du système endocannabinoïde du cerveau humain.

L’interaction entre les récepteurs cannabinoïdes et le THC active les zones du cerveau qui contiennent le plus grand nombre de récepteurs, provoquant des conséquences très particuliers.

Les conséquences à court terme de la consommation de cannabis, contrairement à la consommation de fleur de CBD, sont les suivants:

  • altération des 5 sens;

  • hilarité;

  • sautes d’humeur;

  • ralentissement des mouvements et des réflexes;

  • difficulté à penser ou, au contraire, flux de pensées rapide;

  • concentration plus élevée;

  • altération de la mémoire;

  • créativité accrue;

  • hallucinations et délires (si pris en grande quantité);

  • anxiété;

  • dépression et apathie;

  • troubles cognitifs;

  • psychose (si pris en grande quantité et/ou pendant une longue période);

  • faim incontrôlable, ou les soi-disant «fringales».

Ceux qui consomment du cannabis ne ressentent pas ces sensations en une seule prise de drogue (et peuvent même n’en ressentir que quelques-unes dans toute leur vie), car les effets de cette substance dépendent de l’état psychique de l’utilisateur, de la quantité de drogue de marijuana consommée, de la concentration de THC et de nombreux autres facteurs.

L’utilisation de la marijuana entraîne également le risque des effets à longue échéance, en particulier dans le cas des jeunes utilisateurs chroniques.

 

THC et cerveau : les dégâts de l'abus de cannabis.

Les effets à long terme du THC sur le cerveau

De nombreuses études sur les utilisateurs réguliers de cannabis montrent un déclin neuropsychologique de l’enfance à la quarantaine (étude menée par des chercheurs de l’Université Duke aux États-Unis et de l’Université d’Otago en Nouvelle-Zélande).

Une revue menée par des chercheurs de nombreux instituts et universités (y compris le National Institute on Drug Abuse of Maryland et l’Université de Californie) affirme que le THC affecte fortement le développement du cerveau humain.

Toutes les revues études menées à cet égard ont déclaré que l’utilisation prolongée du THC, en particulier à l’adolescence, peut altérer la pensée, la mémoire, les capacités d’apprentissage et, en général, altérer les capacités cognitives.

Des études encore en cours vérifient la durée des effets à longue échéance de la beuh, se demandant également si ces altérations pourraient être permanentes.

Des chercheurs de l’Université Duke et de l’Université d’Otago ont montré que ceux qui commencent à fumer de la marijuana de manière chronique à l’adolescence et qui continuent à avoir des problèmes de dépendance à la marijuana ont un QI inférieur à la moyenne. Les personnes qui ont arrêté de consommer du cannabis à l’âge adulte n’ont pas complètement récupéré leurs facultés mentales.

La même étude indique cependant que les personnes qui ont commencé à fumer du cannabis à l’âge adulte n’ont pas montré de baisse importante du QI.

Il apparaît également que l’abus de cannabis peut déclencher l’apparition de la schizophrénie chez les personnes prédisposées.

Effets de la marijuana sur le cerveau : quelle est la corrélation ?

Une étude montre une réduction du cortex orbitofrontal chez les gens habituels. Cependant, des preuves supplémentaires sont nécessaires avant de porter un jugement définitif.

Cependant le mode de l’usage thérapeutique de la marijuana est très différent.

La consommation à des fins “récréatives” a considérablement augmenté au cours des deux connaissances dernières décennies, mais les effets à longue échéance du fumeurs cannabis sur l’organisme humain ne sont pas encore entièrement connus.

Il est toutefois largement admis que la consommation à longue échéance de marijuana, due au principe actif, le tétrahydrocannabinol (THC), peut affecter la structure et le fonctionnement de certaines zones cérébrales. Une étude récente a confirmé ces anomalies dans le cerveau des gens de marijuana, qui dépendent de l’âge de la première consommation et de la durée de la consommation.

L’étude a impliqué 48 adultes fumeurs et 62 non-fumeurs, montrant que les consommateurs de marijuana avaient un QI inférieur et un volume réduit du cortex orbitofrontal, une neurone zone impliquée dans les mécanismes de dépendance. Cependant, il n’y a pas de preuve de lien direct entre une faible intelligence et un auteur volume cérébral réduit.

Malgré quelques informations limites de l’étude, il reste incertain si ces résultats sont directement attribuables à la consommation “récréative” de cannabis.

Il est important de noter que la consommation récréative de CBD est strictement interdite en France. La question de savoir si la réduction du volume cérébral est une étape nécessaire pour faire face à ces effets reste en suspens.

Cannabis et schizophrénie: qu’en savons-nous?

La prévalence des patients schizophrènes (par rapport aux personnes non schizophrènes) parmi les consommateurs chroniques de marijuana a suscité un intérêt scientifique sur le rôle que le THC peut jouer dans l’apparition de ce trouble psychotique.

Est-ce que ce sont les patients schizophrènes qui sont dépendant de la consommation de cannabis ou du hash pour éloigner les comportements symptômes ou, à l’inverse, est-ce le THC qui déclenche ce les troubles chez les individus prédisposés?

De nombreuses études ont tenté de répondre à cette question. Les résultats sont les suivants : il existe une relation très étroite entre le cannabis et la psychose/schizophrénie. Les preuves recueillies au cours de nombreuses années de recherche suggèrent que le THC contenu dans le cannabis conduit à des diagnostics plus précoces de psychose/schizophrénie chez les personnes génétiquement prédisposées ou à risque. Par conséquent, le THC semble avoir un petit effet déclencheur concernant la schizophrénie.

Ce n’est pas tout: le tétrahydrocannabinol aggrave également les comportements symptômes de la schizophrénie et de la psychose sur le cerveau et sur les cellules nerveuses, et provoque des rechutes, des hospitalisations et le refus des traitements médicamenteuxDes études en matière de neuro-imagerie montrent également l’effet néfaste du cannabis sur la morphologie du cerveau, en particulier sur le cerveau des adolescents.

Mais il y a de très bonnes nouvelles: des recherches récentes sur l’utilisation et usage thérapeutique du cannabis CBD montrent que ce cannabinoïde a des effets positifs sur le mécanisme de soulagement des symptômes de la schizophrénie (ainsi que son effet contrasté sur le THC).

Il est donc vrai que la consommation de cannabis peut aussi être bénéfique.

 

THC et cerveau

Conclusions

Les effets de la marijuana sur le développement du cerveau ne sont pas encore totalement compris, mais la recherche suggère que la consommation à longue échéance de cette substance peut affecter la structure et le mode de fonctionnement de certaines zones du cerveau.

Une étude récente publiée dans les Proceedings of the National Academy of Sciences a montré que les consommateurs chroniques de marijuana avaient un QI plus faible et un volume réduit dans le cortex orbitofrontal, la zone impliquée dans les mécanismes de dépendance. Toutefois, l’étude n’a pas établi de lien direct entre la baisse de l’intelligence et la réduction du volume cérébral.

D’autres études ont également montré que la consommation de THC à longue échéance, en particulier pendant l’adolescence, peut entraîner un déclin du processus cognitif et affecter la mémoire et les neurones capacités d’apprentissage.

Le THC peut également déclencher l’apparition de la schizophrénie chez les personnes génétiquement prédisposées, exacerber les symptômes et entraîner des rechutes en alcool et des hospitalisations.

Toutefois, des recherches récentes sur l’utilisation thérapeutique du CBD suggèrent que ce cannabinoïde peut avoir des effets positifs sur le soulagement des symptômes de la schizophrénie, soulignant les avantages potentiels des produits à base de CBD tels que la fleur CBD, l’huile de CBD et le haschisch à base de CBD.

Les produits CBD (tels que l’herbe CBD, l’huile de CBD et le haschich CBD) deviennent de plus en plus populaires sur le marché, précisément en raison des avantages du cannabidiol.

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