5 remèdes naturels contre l’acné à découvrir pour apaiser la peau au quotidien

5 remèdes naturels contre l’acné à découvrir pour apaiser la peau au quotidien | Just Bob

Publié le: 16/07/2025

Certaines études récentes confirment l’efficacité de certaines substances d’origine végétale agissant en synergie avec les traitements conventionnels pour améliorer la santé de la peau

L’acné vulgaire, un problème esthétique généralement typique de l’adolescence, est une affection inflammatoire chronique de la peau qui touche des millions de personnes dans le monde entier, quel que soit leur âge. Ses manifestations cliniques, qui vont des comédons (points noirs et blancs) à des lésions inflammatoires plus graves telles que papules, pustules, nodules et kystes, peuvent avoir un impact sur la qualité de vie, en affectant l’estime de soi et le bien-être psychologique.

Il est essentiel de connaître et de comprendre son étiopathogénie complexe afin de pouvoir la traiter efficacement : certains remèdes naturels, associés à d’autres thérapies, peuvent contribuer grandement à lutter contre cette pathologie.

Dans cet article informatif, nous explorerons, avec une approche scientifique et objective, 5 remèdes d’origine naturelle, parmi lesquels le CBD, que la recherche analyse actuellement pour leurs propriétés bénéfiques potentielles dans la gestion des mécanismes à l’origine de l’acné.

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Acné vulgaire : qu’est-ce que c’est ?

Avant d’entrer dans le détail des remèdes naturels, nous allons définir les quatre « piliers » physiopathologiques qui causent le développement de l’acné.

Le premier facteur est l’hyperséborrhée, c’est-à-dire une production excessive de sébum par les glandes sébacées stimulée par des facteurs hormonaux, en particulier les androgènes. Le deuxième est une altération du processus de kératinisation à l’intérieur du follicule pilo-sébacé, appelée hyperkératinisation folliculaire. Les cellules qui tapissent le canal, les kératinocytes, prolifèrent sans se desquamer correctement, créant un « bouchon » qui obstrue le follicule et empêche le sébum de s’écouler.

Cet environnement occlus et riche en lipides devient le terrain idéal pour le troisième facteur : la prolifération de la bactérie Cutibacterium acnes (anciennement Propionibacterium acnes), un micro-organisme normalement présent dans le microbiome cutané qui, dans des conditions anaérobies, prolifère et métabolise les triglycérides du sébum, libérant des acides gras libres et d’autres métabolites. Enfin, le quatrième et dernier mécanisme : l’inflammation, la réponse inflammatoire du système immunitaire qui provoque les rougeurs, les gonflements et les douleurs associés aux lésions acnéiques les plus visibles.

Le traitement médicamenteux conventionnel, qui comprend des rétinoïdes topiques et oraux, du peroxyde de benzoyle, des antibiotiques et des traitements hormonaux, agit sur un ou plusieurs de ces mécanismes avec une efficacité prouvée. Cependant, ces traitements peuvent parfois être associés à des effets secondaires, tels que sécheresse cutanée, irritation, photosensibilité ou, dans le cas des antibiotiques, risque de développement d’une résistance bactérienne. Cette prise de conscience a incité un nombre croissant de personnes et la communauté scientifique elle-même à explorer le potentiel des composés d’origine botanique en tant qu’approches complémentaires ou adjuvantes. L’objectif n’est pas de remplacer les traitements validés, mais d’intégrer à sa routine de soins des ingrédients qui peuvent aider à moduler l’inflammation, réguler la production de sébum et favoriser la santé générale de la peau, de manière douce et durable à long terme.

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Analyse de 5 remèdes naturels contre l’acné

L’intérêt pour la phytothérapie et les composés bioactifs dans le domaine dermatologique est en pleine croissance. De nombreuses plantes et leurs dérivés possèdent un phytocomplexe riche en molécules aux propriétés antibactériennes, anti-inflammatoires, antioxydantes et séborégulatrices : certaines études ont mis en évidence leur potentiel pour lutter contre les mécanismes de l’acné.

L’huile essentielle extraite des feuilles de Melaleuca alternifolia, communément appelée huile de théier, est l’un des remèdes naturels les plus étudiés contre l’acné. Son efficacité est principalement attribuable à son composant le plus abondant, le terpinen-4-ol. Ce monoterpène a démontré dans de nombreuses études in vitro qu’il possède une forte activité antimicrobienne à large spectre, même contre le Cutibacterium acnes. Son mécanisme d’action consiste à endommager la membrane cellulaire de la bactérie, en altérant sa perméabilité et en provoquant sa lyse. Outre son effet antibactérien, le terpinen-4-ol exerce une action anti-inflammatoire intéressante. Il est capable de supprimer la production de cytokines pro-inflammatoires, telles que l’interleukine-1β (IL-1β), l’interleukine-8 (IL-8) et le facteur de nécrose tumorale alpha (TNF-α), par les monocytes activés.

Une étude clinique publiée dans le Medical Journal of Australia a comparé l’efficacité d’un gel à 5 % d’huile de théier à une lotion à 5 % de peroxyde de benzoyle dans le traitement de l’acné légère à modérée. Bien que l’huile de melaleuca ait montré une action plus lente, à la fin de la période d’observation, elle s’est avérée tout aussi efficace pour réduire le nombre de lésions inflammatoires et non inflammatoires, mais avec une incidence moindre d’effets secondaires tels que sécheresse et irritation. Il est toutefois essentiel de toujours l’utiliser diluée dans une huile végétale (comme l’huile de jojoba ou d’amande douce) afin d’éviter toute réaction cutanée indésirable.

Le thé vert est un autre remède naturel qui suscite beaucoup d’intérêt. Les feuilles de Camellia sinensis sont une mine de polyphénols, en particulier de catéchines. Parmi celles-ci, l’épigallocatéchine-3-gallate (EGCG) est la plus abondante et la plus active sur le plan biologique. L’EGCG est un antioxydant très puissant, capable de neutraliser les radicaux libres générés par le stress oxydatif, un processus impliqué dans l’inflammation acnéique. Son action la plus intéressante concerne la modulation de la production de sébum. Des études scientifiques ont montré que l’EGCG, appliqué localement, peut réduire la lipogenèse dans les sébocytes (les cellules qui produisent le sébum) en inhibant des voies de signalisation cellulaire spécifiques. De plus, l’EGCG possède des propriétés anti-inflammatoires et antibactériennes, contribuant ainsi à une approche multifactorielle du problème.

L’application topique d’extraits de thé vert a démontré dans certaines études cliniques qu’elle pouvait réduire le nombre de papules et de pustules ainsi que la production totale de sébum chez les personnes souffrant d’acné. L’utilisation de sérums ou de crèmes contenant des extraits standardisés de thé vert peut donc constituer une stratégie adjuvante valable pour les peaux à tendance grasse et acnéique.

Le zinc est un oligo-élément qui assure le bon fonctionnement de centaines d’enzymes dans le corps humain, y compris celles impliquées dans la santé de la peau. Il peut lutter contre l’acné de plusieurs façons : tout d’abord, il possède des propriétés anti-inflammatoires, car il est capable d’inhiber la chimiotaxie des neutrophiles et l’activité de certaines enzymes pro-inflammatoires. Deuxièmement, il semble avoir un effet bactériostatique direct sur C. acnes. Troisièmement, et peut-être plus important encore, il intervient dans la régulation de la production de sébum. Le zinc peut inhiber l’enzyme 5-alpha-réductase, qui convertit la testostérone en son métabolite le plus puissant, la dihydrotestostérone (DHT), l’un des principaux stimulateurs des glandes sébacées. Ce n’est pas un hasard si plusieurs études ont révélé des taux sériques de zinc plus faibles chez les patients souffrant d’acné sévère que chez les témoins sains.

La supplémentation orale en zinc (généralement sous forme de gluconate ou de sulfate de zinc) s’est avérée efficace dans plusieurs essais cliniques pour réduire la gravité de l’acné inflammatoire, avec une efficacité comparable à celle de certains antibiotiques oraux, mais sans risque de résistance. L’application topique de composés à base de zinc, tels que l’oxyde de zinc ou le zinc PCA, peut également contribuer à apaiser la peau et à contrôler l’excès de sébum.

L’aloe vera, une plante aux propriétés bénéfiques reconnues, s’affirme comme un allié précieux contre l’acné. De nombreuses études scientifiques et recherches en dermatologie et phytothérapie soulignent son efficacité grâce à plusieurs actions ciblées. Le gel d’aloe vera possède en effet des propriétés antibactériennes et antimicrobiennes, utiles pour lutter contre les bactéries responsables de l’inflammation des pores. Parallèlement, son action anti-inflammatoire contribue à réduire les rougeurs et les gonflements, apportant un soulagement à la peau irritée. L’aloe vera favorise également la régénération cellulaire, aidant la peau à guérir des imperfections et à minimiser l’apparence des cicatrices. Sa capacité à hydrater sans graisser la rend idéale pour les peaux à tendance acnéique, en maintenant l’équilibre et en renforçant la barrière cutanée. Un remède naturel et polyvalent pour une peau plus saine.

Enfin, ces dernières années, la recherche scientifique s’est intéressée au potentiel dermatologique des cannabinoïdes non psychoactifs dérivés de la plante Cannabis sativa L., en particulier le cannabidiol (CBD). Contrairement au tétrahydrocannabinol (THC), le CBD est dépourvu d’effets psychotropes et, dans les pays où son utilisation est autorisée par la loi, il apparaît comme un composé prometteur pour le traitement de l’acné (uniquement sous contrôle médical strict). Son efficacité réside dans sa capacité à interagir avec le système endocannabinoïde cutané, un réseau complexe de récepteurs (tels que CB1 et CB2), de ligands endogènes (endocannabinoïdes) et d’enzymes qui régule l’homéostasie de la peau.

Une étude fondamentale publiée dans le Journal of Clinical Investigation en 2014 a démontré que le CBD exerce une action « sébostatique » et anti-inflammatoire remarquable. Les chercheurs ont observé que le CBD est capable d’inhiber la prolifération des sébocytes humains et de supprimer la lipogenèse, réduisant ainsi la production de sébum. De plus, il s’est avéré exercer de puissants effets anti-inflammatoires, en empêchant l’activation des cytokines pro-inflammatoires induites par des agents pro-acnéiques. Cette triple action – sébostatique, antiproliférative et anti-inflammatoire – fait du CBD un candidat idéal pour une approche complète de l’acné. L’exploration de produits cosmétiques, tels que les huiles ou les crèmes contenant du Cannabis CBD, représente une frontière fascinante dans le domaine des soins de la peau.

Acné : une approche holistique de la santé de la peau est nécessaire

Traiter l’acné avec des remèdes topiques, pharmacologiques ou naturels, ne signifie traiter qu’une partie du problème. Une approche efficace doit être holistique et prendre en compte des facteurs tels que l’alimentation, le stress et l’équilibre du microbiome.

La corrélation entre l’alimentation et l’acné est aujourd’hui étayée par plusieurs preuves scientifiques. En particulier, les régimes alimentaires à forte charge glycémique, riches en sucres simples et en glucides raffinés, ont été associés à une aggravation de l’acné. Le mécanisme biologique sous-jacent implique l’insuline et le facteur de croissance analogue à l’insuline 1 (IGF-1) : un pic glycémique induit une sécrétion rapide d’insuline, qui à son tour stimule la production d’IGF-1. Ces deux hormones favorisent la synthèse des androgènes, augmentent la production de sébum et stimulent la prolifération des kératinocytes, favorisant ainsi tous les mécanismes clés de l’acné. Le lait et ses dérivés ont également fait l’objet d’études, car ils semblent capables d’augmenter les niveaux d’IGF-1 : adopter une alimentation à faible indice glycémique, riche en fruits, légumes, céréales complètes et protéines maigres, peut donc constituer un soutien efficace.

Un autre facteur déterminant est le stress psychophysique. En cas de stress chronique, les glandes surrénales produisent de plus grandes quantités de cortisol, l’hormone dite « du stress ». Le cortisol peut se lier à des récepteurs présents sur les sébocytes, stimulant ainsi une production accrue de sébum. De plus, le stress favorise un état inflammatoire systémique qui peut exacerber les lésions acnéiques existantes. Les techniques de gestion du stress telles que la méditation, le yoga, l’exercice physique régulier et un sommeil de qualité peuvent avoir un impact positif sur la santé de la peau.

Enfin, un domaine de recherche émergent intéressant est celui de l’analyse du microbiome cutané, l’écosystème de micro-organismes qui peuple notre peau. Un état de dysbiose, c’est-à-dire un déséquilibre entre les « bonnes » et les « mauvaises » bactéries, peut compromettre la fonction barrière de la peau et favoriser l’inflammation. L’utilisation de nettoyants trop agressifs peut altérer cet équilibre délicat, tandis que l’utilisation de probiotiques et de prébiotiques topiques pourrait à l’avenir constituer une nouvelle stratégie pour rétablir l’homéostasie cutanée.

Nous soulignons que ces informations ne doivent pas être considérées comme des conseils médicaux : pour traiter efficacement l’acné, il est indispensable de consulter un médecin spécialiste.

Plante de cannabis légale | Justbob

Curiosités et mythes à démystifier sur l’acné

L’acné a toujours été entourée de nombreux mythes et croyances populaires qui peuvent conduire à des comportements inappropriés et à un sentiment de frustration. Démystifier ces fausses croyances à l’aide de données scientifiques permet de gérer la santé de sa peau de manière plus sereine et plus consciente.

L’un des mythes les plus répandus est que l’acné est causée par une mauvaise hygiène, ce qui conduit de nombreuses personnes à se laver le visage de manière obsessionnelle avec des produits nettoyants agressifs. En réalité, l’acné n’est pas une question de « saleté » : l’excès de sébum et les cellules mortes qui obstruent les pores sont des produits internes à l’organisme. Se laver trop peut même être contre-productif, car cela élimine le film hydrolipidique protecteur de la peau, la déshydrate et peut provoquer une inflammation réactive et, paradoxalement, une augmentation de la production de sébum (ce qu’on appelle « l’effet rebond »). Le nettoyage doit être doux, effectué au maximum deux fois par jour avec un produit au pH physiologique.

Il existe quelques anecdotes historiques assez curieuses concernant le traitement de l’acné dans le passé. L’humanité cherche des remèdes à cette affection depuis des millénaires : les Égyptiens de l’Antiquité, par exemple, utilisaient des cataplasmes à base de soufre, un élément encore présent aujourd’hui dans certaines préparations topiques pour ses propriétés kératolytiques et antibactériennes. Les Romains, quant à eux, faisaient confiance aux propriétés curatives des eaux thermales sulfureuses.

Il est fascinant de constater que l’intuition empirique du passé trouve parfois une confirmation, même partielle, dans les mécanismes d’action que la science moderne est en mesure d’expliquer. Un phénomène souvent mal compris est ce qu’on appelle le « purging » cutané : lorsque l’on introduit un nouveau produit actif dans sa routine (comme un rétinoïde, un acide exfoliant ou même un remède naturel particulièrement efficace), on peut observer une aggravation initiale de l’acné. Ce n’est pas nécessairement le signe que le produit ne convient pas : la purge est une sorte de processus de nettoyage accéléré qui augmente le « renouvellement » cellulaire, amenant plus rapidement à la surface les micro-comédons déjà présents sous la peau.

Cette poussée est généralement transitoire, dure quelques semaines et se concentre dans les zones où les imperfections sont habituellement présentes. Il est essentiel de le distinguer d’une irritation ou d’une véritable poussée, qui peut également apparaître dans de nouvelles zones, afin de ne pas abandonner un traitement potentiellement efficace.

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Acné : vers une approche intégrée et consciente

En conclusion, l’acné est une affection dermatologique complexe et multifactorielle qui nécessite une approche patiente, informée et personnalisée. Bien que les traitements médicamenteux constituent la référence en matière de traitement des formes modérées à sévères, les remèdes naturels offrent des outils complémentaires précieux pour la gestion quotidienne des peaux à tendance acnéique, en particulier pour les formes les plus légères et pour le maintien des résultats à long terme. Des ingrédients tels que l’huile de melaleuca, les extraits de thé vert et le zinc ont démontré, avec différents degrés de preuve scientifique, qu’ils peuvent agir sur les mécanismes clés de l’acné, en modulant la flore bactérienne, l’inflammation et la production de sébum.

Dans ce contexte, l’intérêt scientifique pour le CBD et ses dérivés ne cesse de croître. La capacité du cannabidiol à agir simultanément sur plusieurs fronts – en réduisant le sébum, en calmant l’inflammation et en normalisant la croissance cellulaire – sans les effets psychoactifs du THC, le positionne comme l’un des ingrédients botaniques les plus innovants et les plus prometteurs pour la dermatologie du futur, là où son utilisation et sa vente à des fins médicales sont autorisées. L’intégration de produits cosmétiques à base de cannabis sans THC dans votre routine de soins, uniquement dans les pays où la législation le permet, peut contribuer à lutter contre l’acné, à condition de choisir uniquement des produits de qualité.

L’approche gagnante contre l’acné réside dans l’intégration : combiner une routine de soins de la peau ciblée et douce avec un mode de vie sain, comprenant une alimentation équilibrée, une bonne gestion du stress et une activité physique adéquate. La patience et la constance sont les clés du succès. La peau a son propre rythme de régénération et les résultats ne sont jamais immédiats : se fier aux soins d’un dermatologue et établir un parcours thérapeutique qui tienne compte de tous ces aspects est la stratégie la plus efficace pour retrouver le bien-être cutané et, par conséquent, lutter contre les effets psychologiques négatifs de l’acné.

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Remèdes naturels contre l’acné : takeaways

  • L’acné est influencée par différents facteurs tels que l’excès de sébum, l’obstruction des follicules, les bactéries et l’inflammation. Certains remèdes naturels, notamment l’huile de melaleuca, le thé vert, le zinc, l’aloe vera et le CBD, peuvent aider à traiter l’acné en agissant sur ces mécanismes et en offrant un soutien complémentaire aux thérapies traditionnelles.
  • Une approche holistique est essentielle pour traiter l’acné, en tenant compte non seulement des remèdes topiques, mais aussi de facteurs tels que l’alimentation, le stress et l’équilibre du microbiome cutané. Une alimentation à faible indice glycémique, la gestion du stress et l’utilisation de produits doux peuvent contribuer de manière significative au bien-être de la peau.
  • L’intégration de remèdes naturels dans la routine de soins de la peau peut offrir des avantages significatifs, en particulier pour les formes les plus légères d’acné. Cependant, il est important de choisir des produits de qualité et de consulter un dermatologue pour un traitement personnalisé. La constance et la patience sont importantes, car les résultats prennent du temps à se manifester.

Remèdes naturels contre l’acné : FAQ

L’utilisation de remèdes naturels contre l’acné peut-elle remplacer les traitements médicamenteux ?

Non, les remèdes naturels ne doivent pas être considérés comme une alternative aux traitements médicamenteux validés, mais ils peuvent jouer un rôle complémentaire pour gérer les symptômes de manière plus douce et plus durable, en particulier dans les formes les plus légères d’acné.

Le CBD peut-il vraiment aider à améliorer la peau acnéique ?

Oui, plusieurs études suggèrent que le cannabidiol (CBD) est capable de réduire l’inflammation, de réguler la production de sébum et de soutenir l’équilibre cutané, ce qui en fait un ingrédient prometteur pour le soin des peaux à imperfections.

Quels autres facteurs faut-il prendre en compte en plus des produits topiques pour lutter contre l’acné ?

Une approche efficace doit également tenir compte de l’alimentation, du stress et de la santé du microbiome cutané. Une alimentation à faible indice glycémique, une bonne gestion du stress et un nettoyage doux sont essentiels pour favoriser l’équilibre de la peau.